Le Roi du Maroc : La sacralité du sacré
Certains
courants se disant novateurs ou avant-gardistes surfent, sans le savoir, sur
des vagues destructrices, en s’attaquant à l’institution royale de manière
insidieuse en particulier sur les réseaux sociaux.
Depuis
longtemps on a essayé de sortir l’institution royale du domaine du sacré pour
la faire entrer dans celui de la politique, les arguments exploités par les uns
et les autres étant plus d'ordre idéologique (islam radical, extrême
gauche, affairisme, opportunisme...) que de pragmatisme politique.
Assurément,
de par les aspirations nationales, plus de 12 siècles durant, une sacralité est
reconnue à la fonction et à la personne du roi.
Si le roi
est un être humain donc il n’est pas infaillible « errare humanum est»,
l’institution royale par contre fonctionne de manière à réduire au maximum les
erreurs.
La sacralité
de l’institution royale ne doit plus être remise en question. Car comme dans
les exercices de mathématiques, c’est une donnée de base à ne pas discuter et
travaillons avec pragmatisme sur les autres données de l’équation de notre
projet social, qui. Vise «à faire avancer le Maroc sur la voie du progrès,
de la prospérité, du développement et de la stabilité».
Sachant que
le Maroc possède des atouts dans sa démarche démocratique et participative dans
la résolution de ses problèmes, il est judicieux de se concentrer davantage sur
les défis de notre patrie.
Ainsi, on
laissera aux agitateurs (Démons, AFARIT), de tous bords, peu sinon aucune marge
pour freiner la marche du Maroc vers la réalisation de son projet social.
Le discours
du trône de 2013, a annoncé les grandes lignes de ce projet, en même temps
que les bases de sa réalisation «parachever les institutions constitutionnelles
et répondre aux impératifs de bonne gouvernance».
Les défis
sont donc que ces institutions constitutionnelles :
• Définissent avec précision les attributions de chaque acteur politique ;
• Réalisent et publient les textes d’application de la constitution ;
• Mettent à jour les textes réglementant le fonctionnement de l’Etat.
S’agissant
du défi de la gouvernance nous devons tous, chacun à son niveau, combattre ses
ennemis, à savoir : La corruption ; Le népotisme ;
L’incompétence.
Agissons
vite et sans précipitation, pour confirmer la sacralité des constantes
immuables de la nation et œuvrer pour la prospérité, la dignité, la liberté et
la justice sociale au profit de tous les citoyens au lieu de se perdre dans les
méandres de la politique politicienne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire