mardi 20 août 2013

La sacralité du sacré


Le Roi du Maroc : La sacralité du sacré

Certains courants se disant novateurs ou avant-gardistes surfent, sans le savoir, sur des vagues destructrices, en s’attaquant à l’institution royale de manière insidieuse en particulier sur les réseaux sociaux.
Depuis longtemps on a essayé de sortir l’institution royale du domaine du sacré pour la faire entrer dans celui de la politique, les arguments exploités par les uns et les autres étant plus d'ordre idéologique (islam radical, extrême  gauche, affairisme,  opportunisme...) que de pragmatisme politique.
Assurément, de par les aspirations nationales, plus de 12 siècles durant, une sacralité est reconnue à la fonction et à la personne du roi.
Si le roi est un être humain donc il n’est pas infaillible « errare humanum est», l’institution royale par contre fonctionne de manière à réduire au maximum les erreurs.
La sacralité de l’institution royale ne doit plus être remise en question. Car comme dans les exercices de mathématiques, c’est une donnée de base à ne pas discuter et travaillons avec pragmatisme sur les autres données de l’équation de notre projet social, qui. Vise «à faire avancer le Maroc sur la voie du progrès, de la prospérité, du développement et de la stabilité».
Sachant que le Maroc possède des atouts dans sa démarche démocratique et participative dans la résolution de ses problèmes, il est judicieux de se concentrer davantage sur les défis de notre patrie.
Ainsi, on laissera aux agitateurs (Démons, AFARIT), de tous bords, peu sinon aucune marge pour freiner la marche du Maroc vers la réalisation de son projet social.
Le discours du trône de 2013, a annoncé les grandes lignes de ce projet, en même temps que les bases de sa réalisation «parachever les institutions constitutionnelles et répondre aux impératifs de bonne gouvernance». 
Les défis sont donc que ces institutions constitutionnelles :
• Définissent avec précision les attributions de chaque acteur politique ;
• Réalisent et publient les textes d’application de la constitution ;
• Mettent à jour les textes réglementant le fonctionnement de l’Etat.
S’agissant du défi de la gouvernance nous devons tous, chacun à son niveau, combattre ses ennemis, à savoir : La corruption ; Le népotisme ; L’incompétence.
Agissons vite et sans précipitation, pour confirmer la sacralité des constantes immuables de la nation et œuvrer pour la prospérité, la dignité, la liberté et la justice sociale au profit de tous les citoyens au lieu de se perdre dans les méandres de la politique politicienne.

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